

Dessins : Laura Francese
Il y a trente ans, dans la nuit du 3 au 4 juin 1989, l’armée populaire de libération réprimait le « printemps de Pékin » dans le sang. Trois décennies plus tard, c’est toujours l’omerta. Les censeurs sont débordés et l’État chinois a renforcé la surveillance des anciens du mouvement.
Source : RFI